MAGVIVA
Magazine en Musique Quantique.
Une page blanche à expression libérée.
Mesurer les choses a toujours été appréciée, on parle de poids, de centimètres et des expressions qui définissent la qualité proportionnelle. Le fait de ne pas être très compliqué facilite la perception logique de l’objet, tout programmeur connait la teneur focale de sa réflexion vis-à-vis du détail.
La programmation nous conduit à certaines conditions logiques.
Le dessin architecturé aux métriques tant au niveau qu’à l’aplomb.
La peinture avec sa palette « d’arc-en-ciel » dosée en couleurs primaires.
Mesurer est à coup sûr le moyen qui permet de bâtir un complexe logique, c’est aussi le moyen d’aller à la limite de notre vision, un peu comme une équation mathématique exprimant un résultat visible qui se voit compris par la pensée.
Il s’avère que la mesure musicale nous apporte un confinement temporel en rapport envers les nombres réels et les horaires journaliers, et ainsi que l’ADN. Je n’approfondirais pas ceci ici, mais je parlerais de la métrique jalonnée par les notes musicales. Car il est avéré que cette organisation crée de la miniaturisation, allant très loin et aux limites définies par le chercheur. Les modèles gammologiques sont si nombreux qu’il n’y a que la programmation informatique qui puisse se permettre cette réalisation, c’est d’ailleurs la raison de ma démarche.
Il est plus facile de développer de la gammologie avec un script qu’avec un crayon au final.
L’avantage du traitement de masse ainsi réalisé produit une multitude d’agents affiliés ou pas, formant une cohésion entre des ensembles systémiquement différents. Toute cette cohorte menant à une infinitude permet d’identifier les unités, à la manière d’un instrument de mesure posé sur l’unité faisant l’objet de notre recherche.
Je pense plus aux petites choses qui sont davantage contraintes à l’espace de leurs mouvements, qu’à un espace sidéral englobant les « jeux » planétaires. Je dis ça, car certains sujets m’échappent, malgré leurs intérêts.
Prouver que les gammes musicales sont logiques et régulières, en les inventant à l’aide du code informatique, ce qui est une véritable preuve de leurs pondérations. Puis le script est un sujet maniable et téléchargeable, il est facile d’accès. Mais il est surtout une logique bien particulière, à l’image d’un outil de traitement spécialisé pouvant être partiellement reproduit. Les gammes musicales ont une expression compliquée par son état général, il y a les gammes fondamentales et leurs modèles diatoniques. Le script développe sans distinction préalable les corps modaux diatoniques, et parmi ces sept modulations, il nous faut reconnaitre le mode primordial. C’est pour ça que le petit code pèse les différents modèles, il reconnait la primordiale par sa septième majeure et son niveau diatonique à l’aide de son poids altératif.