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Point collectif des gammes

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Les gammes commatiques dévoilent

Le temps divinatoire commatique

La notion du micro-intervalle est ancienne, tellement invisible parmi les intervalles qu’on est tenté par la création de nouvelles expressions agissantes sur chacune des notes de musique.

Les éléments qui nous font entendre la note acoustique sont la voix et l’instrument, à savoir que chaque demi-ton a une valeur hertzienne bien précise. Changer cette valeur vers une autre valeur de demi-ton est justifiable, mais quand il s’agit d’une valeur inconnue des instruments qui ne peuvent pas exprimer ce micro-intervalle, plutôt corsée comme affaire.

Les étranges modulations

Le solfège conditionne la portée des altérations selon un certain discernement.

Figure 1 Capture Plagias Degrés PNG
Les degrés variants sur la plage ☺
Les degrés variants sur la plage ☺

Le solfège guide la musique comme un sentier confortable, et nous allons voir ce qu’il y a d’extraordinaire dans l’octave. La première note est notre tonique et elle ne bouge pas par exemplarité, elle donne la première base et fait l’état du principal degré tonal. Il faut savoir qu’en augmentant le 1ᵉʳ degré, sa valeur tonale sera « 1 » comme toujours. Si le 1ᵉʳ et le 8 degré restent inchangés, il n’en va pas de même avec les autres degrés diatoniques. Le tableau des plagiats des degrés démontre les états altératifs de chacun des degrés, du 2ᵉ au 7. Cet espace d’octave nous informe sur la quantité d’altérations que peut cumuler chaque degré. Les dièses cumulent quatre dièses, et les bémols cumulent cinq bémols.

Ces neuf points commatiques sont communs à des valeurs enharmoniques, et afin d’écarter les valeurs enharmoniques, on subdivise l’intervalle en neuf parties. À ce niveau, un autre problème survient, il est identique à la répartition des tonalités dans une octave par la gamme tempérée, soit comment répartir ces neuf nouvelles tonalités. Le problème n’est pas exactement identique par les différentes valeurs qu’ont les intervalles, l’octave, elle a une répartition équilibrée de tout son long et l’intervalle, aura tendance à favoriser les emplacements proches du point enharmonique.

Chaque demi-ton est situé entre deux notes, et une note occupe l’espace d’un demi-ton.

L’espace d’un demi-ton est divisible et sa part entière représente un vide élémentaire, sauf qu’en théorie, il est un emplacement diatonique et la règle musicale fait que les notes comportent des altérations. La gamme chromatique qui provoque des états enharmoniques, ici les notes se joignent alors pour continuer le thème qui répond au partage du demi-ton en fonction du nombre de notes pointant cet espace enharmonique.

Questions :

  1. Quels sont les comportements enharmoniques des altérations ?
  2. Le vide enharmonique a un centre et des côtés, quelles utilités ?
  3. La capacité de l’écoute humaine bloque les connaissances réelles ?

Le temps élémentaire commatique

La théorie commatique ne dépend pas de l’accessibilité instrumentale, elle est une réalité virtuelle qui émane du développement naturel de la gamme.

Tout comme la gamme chromatique qui augmente la gamme naturelle de ses altérations classiques (b/#), la gamme commatique est produite par le traitement chromatique. Cette dernière révolutionne l’emploi des notes diatoniques, pour comparer les comportements altératifs des gammes (chroma, comma) :

  • Les gammes chromatiques classiques suivent l’ordre-nombre de notes est respecté.
  • Les gammes commatiques varient l’ordre-nombre de notes classiques.

Finalement, chacune des gammes chromatiques produit douze gammes commatiques, parmi elles quelques similitudes et parfois des gammes qui n’ont pas d’appellation. Bien que le système de développement puisse produire des modèles parallèles ne dénombrant pas la quantité de l’ensemble des tonalités commatiques perçues. Cette transposition diatonique crée un lien hiérarchique, et par conséquent devient un indice valide.

La composition de la gamme comma ressemble à celle de la gamme chroma, intercalant enharmonies et notes. Alors qu’une note a un point commun (enharmonie) avec une autre note, la note sans aucune communauté (isolée) a un avantage pratique. En effet, ce qui nomme la gamme comma est composé de toutes les notes diatoniques isolées, sauf si de temps en temps le relevé diatonique n’a aucune note isolée, et c’est ce genre de lacune qui fait avancer la théorie. Celle qui veut trouver une solution existentielle a ces cas innommables.

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